Peux-tu te présenter rapidement ? Je m’appelle Giulio Aprin, je suis photographe, vidéaste, créateur de contenu et conseiller en stratégie digitale. Je suis actuellement basé à Florence, en Italie, après deux ans passés à Londres, et j’aimerais partir m’installer ailleurs dès que possible. J’ai beaucoup de passions. J’aime le sport, j’adore voyager et explorer le monde, je suis fasciné par tout ce qui est créatif et lié à l’art, les musées, l’architecture… J’ai pratiqué de nombreux sports différents au cours de ma vie, et j’ai été coach de parkour et de course libre pendant six ans. J’aime la nature et sa force. La nature est la plus importante source de vie sur cette planète et nous devrions mieux la préserver et la protéger. Plus en profiter aussi. Je déteste la discrimination, l’ignorance, le jugement. Le respect sous toutes ses formes est la clé du succès, et cela commence par le respect de soi-même.
En quoi ton métier est-il lié à la mode ? Je ne travaille pas vraiment dans la mode au sens propre. Mais j’y suis forcément lié, en tant que photographe et créatif, je m’y confronte tout le temps et je gravite autour du monde de la mode. Cependant, j’aime me voir comme un œil extérieur, je regarde ce qui s’y passe et je capture ce que j’en perçois et ce que j’en retire.
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Quelle est ta vision de la marque Lee ? Lee est l’une des premières marques de jeans de l’histoire. J’aime bien savoir d’où viennent les marques, et celles que j’aime viennent souvent d’une histoire ouvrière. Et Lee sort du lot avec la meilleure pièce jamais créée : l’Overall est un vêtement qui a vraiment marqué son temps, pensé pour les travailleurs et les agriculteurs. C’est ce qui me vient à l’esprit quand j’entends le mot Lee.
Que penses-tu de notre collaboration Conifer ? Le connaissais-tu avant ? Que penses-tu de son style, de ses slogans… Je ne connaissais pas la collaboration, mais j’adore l’idée, j’ai toujours été fan de typos peintes à la main et de cet aspect brut du denim. La qualité mélangée avec une bonne dose de créativité qui donne l’impression d’être dans un garage de motos et voitures vintage.